Quand la banque accompagne les femmes dans leur indépendance financière
Il y a encore 57 ans, les femmes mariées devaient obtenir l’autorisation de leur mari pour ouvrir un compte bancaire sous leur nom propre. Une situation directement héritée du code civil de 1804 établissant leur incapacité juridique. Comment les épouses ont-elles progressivement acquis la liberté de gérer les affaires financières et économiques de leur ménage ou d’accéder à des services financiers en toute autonomie ? Comment les banques se sont-elles adaptées aux évolutions sociétales qui ont rythmé le 20e siècle en matière de droits de la femme ? Les réponses dans ce nouvel épisode du distributeur d’anecdotes bancaires de BNP Paribas qui retrace les temps forts de l’émancipation économique des femmes à partir d’archives bancaires.
Droits des femmes, indépendance financière et banque
Partons à la découverte de ces années de lutte pour l’indépendance financière des Françaises et de la façon dont les banques ancêtres de BNP Paribas ont accompagné cette nouvelle clientèle…
Au tout début du 20ᵉ siècle, les femmes mariées qui travaillent ont enfin la possibilité de détenir librement leur salaire. Pourtant, ce n’est qu’en 1938 que la loi lève leur incapacité civile. Le droit de vote lui, ne leur est accordé qu’en 1944, notamment en raison de l’afflux massif des femmes sur le marché du travail au cours des deux guerres mondiales. Saviez-vous que ce n’est qu’en 1965, année d’élections présidentielles, que reprend le débat sur l’émancipation des femmes ?
Les femmes, des clientes comme les autres ?
Écoutez le récit de leur longue marche.
Parcourir la brochure la BNP et les femmes, issue des archives historiques de BNP Paribas
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